Il arrive un âge où un couple peut connaître l’envie de fonder une famille, de sceller son amour autour d’un être commun. Si tout semble parfait, simple et sans caillou dans la chaussure pour certains couples, pour d’autres, avoir un enfant peut ressembler à un véritable parcours du combattant.
Aujourd’hui, les maladies féminines sont de plus en plus visibles : endométriose, SOPK, cancer, troubles,… Des causes qui viennent s’ajouter à d’autres dans le domaine de l’infertilité. Mais si le risque est présent, ce n’est pas une fatalité ! Il est essentiel de croire aux belles surprises et laisser la vie nous emmener vers de beaux projets.
Infertilité / Stérilité : faisons le point
Avant d’évoquer les causes qui réduisent les chances des femmes d’avoir un bébé, il est important de revenir sur les bases.
Dans la vie courante, on privilégiera le mot infertilité à stérilité.
On parle d’infertilité en cas d’absence de grossesse malgré des rapports sexuels non protégés pendant une période d’au moins 12 ans. Ce terme énonce un problème mais laisse tout l’espoir de pouvoir le résoudre. La stérilité est l’incapacité d’une femme ou d’un homme à concevoir naturellement un enfant.
Les maladies qui augmentent la stérilité des femmes
Aujourd’hui de plus en plus de femmes sont diagnostiquées de maladies féminines. Des maladies qui sortent de l’ombre et de leur honte.
Voyons lesquelles peuvent impacter la fertilité et la stérilité des femmes :
- L’endométriose : cette maladie qui touche plus d’une femme sur 10 impacte les organes reproducteurs. Prise à temps, elle ne causera pas de problèmes d’infertilité. Selon la localisation des lésions, une opération pourra augmenter vos chances de procréer et augmenter votre fertilité.
- Les fibromes : la présence de fibromes ou de polypes dans l’utérus entrave aussi la fertilité des femmes. Ces tumeurs bénignes gênent l’implantation de l’embryon et augmentant les risques de fausses couches.
- Le SOPK ou syndrome des ovaires polykystiques peut entrainer une absence d’ovulation et donc une infertilité. Mais là aussi des traitements existent.
Si les maladies féminines représentent un risque pour la fertilité des femmes, il reste toujours un espoir. La maladie ne représente pas une fatalité.